JOURNEES PROS
Lecture
Alice pour le moment
mercredi 18 février à 16h30 . Caveau Devosge
de Sylvain Levey (ed. Théâtrales Jeunesse) par la compagnie Ariadne sous la direction d’Anne Courel
Les débats / tables rondes
Comment parler de son spectacle et le vendre aujourd’hui ?
mardi 17 février à 16h30 . Salle Devosge
Avec Luc Amoros directeur de compagnie et Bruno de Beaufort directeur de production de la compagnie Luc Amoros
La production et les premières sorties d’un nouveau spectacle «labellisé jeune public» semblent de plus en plus problématiques. Est-ce à cause d’un trop-plein de propositions ? Est-ce dû à des baisses de moyens des lieux d’accueil ? Ou est-ce une question de frilosité grandissante à s’engager dans le soutien au processus même de création artistique ? Faut-il revoir le mode de dialogue entre créateurs et programmateurs ? Au fil des répétitions de son nouveau spectacle, Luc Amoros a imaginé une autre façon d’engager ce dialogue. Nous vous proposons de débattre avec lui et son équipe des fondements de sa démarche, et des enseignements qu’on pourrait en tirer.
De l’objet de théâtre au théâtre d’objet
mercredi 18 février 18h . Caveau Devosge
Avec Christian Carrignon - metteur en scène Théâtre de Cuisine, Jean-Luc Mattéoli - agrégé de Lettres, docteur en études théâtrales, Jean-Michel Baudoin - auteur et directeur du Théâtre de Châtillon et Claire Dancoisne - metteur en scène Théâtre de la Licorne.
L’objet pauvre se situe entre histoire de l’art et histoire culturelle : on évoquera sa dimension mémorielle et notamment la manière dont, par sa présence depuis l’amont de la représentation à son effectuation, il convoque la mémoire des humbles.
Rencontrer le théâtre
jeudi 19 février à 16h . Hôtel Bouchu D'Esterno
Autour du projet 50/50 de la compagnie l’Artifice en présence de Jean-Philippe Pierron et étienne Gruillot, philosophes travaillant avec la compagnie.
Christian Duchange s’interrogera sur la volonté actuelle de l’Artifice de fabriquer des petits formats pour rencontrer autrement et ailleurs les publics. Pourquoi sortir du (des) théâtre(s) ? Pourquoi faire ce chemin inverse hors de l’institution ? Quels sont les intérêts et y a-t-il des risques ?